Hyrulian Legends
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 [EVENT]Au plus profond des Mines - LIBRE

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Ganondorf
Roi des Gérudos, Empereur du Mal
Ganondorf


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MessageSujet: [EVENT]Au plus profond des Mines - LIBRE   [EVENT]Au plus profond des Mines  -  LIBRE Icon_minitimeLun 17 Oct - 20:42

Au plus profond des Mines

Libre

-Vous voulez notre pierre spirituelle? Pas question de la donner, elle est notre trésor et en aucun cas, nous la céderons en échange d'un quelconque "pouvoir"!

Ce que les Gorons pouvaient être naïfs. Comme si la vie se résumait à une simple routine à paresser dans leur village de pierre, à manger leurs cailloux.
Il poussa un soupir énervé, ressemblant plus à un sifflement de serpent, alors qu'il grinçait des dents. Il se craqua le cou, tandis qu'il redescendait des Montagnes de la Mort d'un pas lourd mais colérique. Oh oui, la colère. La fureur. Il avais tellement voulu dégainer son épée pour tous les massacrer.

-Tu n'es pas un vrai homme! Si tu veux la pierre, aide-nous d'abord!


"Un vrai homme"? En repensant aux dires du Goron, il ne put s'empêcher de pousser un rire. Glacial. Sans émotion. Il jubilait.
Soudain, alors que le village Cocorico se profilait à l'horizon, malgré la terre sèche fouetté par le vent des montagnes, il s'arrêta. Son cheval, aux protections métalliques travaillées, à la crinière d'un roux intense, en fit de même, sur l'ordre de son féroce cavalier.
Il sourit.
Tous les moyens de pression étaient bons ; la fin justifie les moyens comme le dit le dicton. Ce qu'il désirait, il voulait l'obtenir vite. Le Roi était bien crédule, mais ses conseillers, la princesse... Ils allaient bientôt ramener ce monarque naïf à la raison, donc, contre-carrer ses plans. Personne. Il ne laisserait personne se mettre sur sa route. Depuis qu'il pouvait, il tueait le moindre innocent qui avait l'affront de l'insulter ou simplement de manquer de respect à son égard.
Il était le Roi du Désert.
Il allait bientôt être le Roi d'Hyrule.
Mais d'abord, il devait trouver ces saletés de pierres spirituelles et récupérer l'Ocarina de la Princesse. Il ne connaissait que trop bien la légende. Il s'était même rendu à l'Eglise de la Citadelle, autrement dis le Temple du Temps, pour examiner la stèle.

"Pour ouvrir les portes de la Terre Sacrée, viens avec les trois Pierres Spirituelles et entonne le Chant du Temps avec l'Ocarina Royal."


Oui, il avait décidé de faire cette quête lui-même.
Les autres Gérudos devaient attendre les ordres de leur chef.
Il accrocha à l'entrée de la caverne le rennes de son cheval à un rocher, caressa de sa main dure et rugueuse le front puis la ganache armurées par une protection en métal de son destrier, avant d'entrer dans l'immense mine des Gorons.
Des lézards armés de sabres purent entrer aussitôt, envahissant l'ensemble de la caverne, tanids que le Roi s'enfoncait dans les salles précaires et primaires à peine éclairés par une simple torche.
Soudain, il vit de loin un rocher, devant la dernière salle. Rocher qui n'en était pas vraiment un. Deux bras en sortirent, ébranlant quelques cailloux qui tombèrent dans un petit crissement sourd au sol, puis on put voir un Goron se léver lentement. L'homme rocailleux se tourna vers lui, stupéfait:

-Vous...Vous n'avez pas le drrrroit d'être là! Couina-t-il de son accent rauque, se mettant en position de combat rapproché.
-Voyez-vous ça.

Sans ménagement, il trancha la gorge du Goron, dégaga d'un coup de pied le cadavre. Il ne voulait personne sur sa route. D'un geste de la main, la porte s'ébranla par une force invisible et s'ouvrit lentement, soulevant un nuage de poussière dense.
Dès qu'il put entrer, un grognement résonna dans la salle. Il sourit et s'approcha du centre de la salle. En bas, se trouvait ce qu'il cherchait, tandis que ses soldats lézards saccageaient la mine des Gorons.

-Bien. Tu sais que ce que j'attends de toi.

Des grésillements tintèrent dans le creux de sa main, pour former une boule d'énergie. Dans un ricanement, il la lança, regardant depuis le trou menant au sous-sol de la bête, qui frappa la créature. Elle poussa un râle de souffrance rauque, agonisant, avant de s'effondrer lourdement sur le sol magmatique de sa caverne.
Dans quelques heures, le Roi Dogongo allait se réveiller. Rien qu'à cette pensée, un rire sombre sortit du plus profond de sa gorge, résonnant dans de lointains échos dans l'ensemble de la mine.

Il put ressortir, d'un pas calme, un rictus froid et satisfait sur les lèvres, tandis que derrière lui, s'effrondrèrent dans un vacarme sourd les rochers qui formaient l'entrée de la mine.

Les Gorons allaient devoir négocier, maitenant qu'ils ne pouvaient plus accéder à leur seule réserve de nourriture.
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MessageSujet: Re: [EVENT]Au plus profond des Mines - LIBRE   [EVENT]Au plus profond des Mines  -  LIBRE Icon_minitimeMer 2 Nov - 20:12

[EVENT]Au plus profond des Mines  -  LIBRE Banum230


Tant de beauté dans un soleil fatigué. Tant de volupté dans l’eau ensommeillée. Un sourire apaisé sur mes lèvres bleutées, un regard mélancolique fixant l’horizon voyageur. J’imagine, je me souviens, je caresse ma mémoire avec amour et tendresse, berçant ces instants heureux et souriants de cette liberté passée. Je chante ces instants, ce temps bafoué et brisé, depuis le matin, sans jamais m’arrêter. Qu’importe que ma voix me tiraille, qu’importe que ma gorge s’abime. Je continuerai ma mélopée, pour attirer les Mortels, et les aider. Ce sont les Trésors de nos Mères, que peuvent-ils faire contre ce dit Ganondorf ? Ils ne sont pas tous pareils que cet homme, je le sais. Ils sont innocents et possède le Sourire que j’aime tant…Alors je chante, oui, je chante encore et encore, jusqu’à ma mort, si elle arrive un jour…

Tes yeux m'ont fait perdre une guerre à mon cœur
Depuis je décrois
Depuis je décrois
Tes yeux m'ont fait perdre mon sens de l'honneur
Et moi je décrois
Tu t'es détourné comme on fane les fleurs
Un peu chaque jour, tu disais comme ça
"Peu importe les années s'il nous reste la fraicheur."
Et moi, je décrois
Il n'aurait suffi que d'un battement de cils
De la part d'une autre pour découdre le dernier fil
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir
Lueur d'un espoir
Au lever du soir
Tes yeux m'ont fait perdre une guerre à mon cœur
Depuis je décrois
Depuis je décrois
Tes yeux m'ont fait perdre mon sens de l'honneur
Et moi je décrois
Toute cette histoire me parait bien futile
Puisque ton amour ne tenait qu'à un fil
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir
Dans la brume nocturne
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir
Je m'en remets à la lueur d'un espoir
Au lever du soir"


Au lever du soir d'Emilie Simon, à écouter la musique va avec.

Un cri s’échappe d’entre les montagnes à l’Ouest. Mes yeux argentés fixent une étrange fumée noire s’échappant d’un des pics. Un rire glacial fait écho dans mon âme refoulée. L’argent de mes yeux s’éclaircit, comme en signe de surprise, puis se durcit. Il est là-bas. Oui, il est là-bas. D’un même mouvement, dans le même objectif démesuré et impensable, dans ce même désespoir inébranlable de l’absence, mon corps se mit debout, mon visage s’est levé vers ces montagnes, et ma voix chanta ma peine :

-Rends-moi mon corps ! Rends-moi mon corps ! Seigneur sans cœur, rends-moi mon bonheur ! Donnes-moi ma liberté, mon sourire, ma vie ! Rends-moi mon corps, l’Ami !

Toujours et encore cette même mélopée, voisine d’une folie divine et sans saveur. Toujours et encore ce même visage contracté par la sublime douleur. Que suis-je à part une prière désespérée, une mélopée fatiguée ? Rien. Je ne suis rien dans ce monde, pour ces gens-là. Pourtant, j’ai tant souhaité en ces jours heureux, devenir une Mortelle et sourire avec eux…Est-ce toujours le cas ? Je doute. Oui, je doute de vouloir encore vivre et mourir en leur compagnie. Mais je ne peux arrêter de les aimer, non, je ne peux arrêter…

Le hurlement s’intensifie puis s’éteint dans un souffle. Le silence prend possession de l’endroit, comme à l’accoutumée, lorsque je ne chante pas. Je baisse la tête vers ce sol desséché, ma main se pose sur mon visage, un sanglot secoue mon dos sans que les larmes ne me viennent aux yeux :

-Rends-moi…mon corps.

Un soupir. Une idée. Une terrible défaite. Mais je me relèverai, comme à chaque fois. A chaque instant où je sentirais la présence de l’Ami, la chaleur de mon corps sur mon cœur, j’observerai l’horizon, et je ne cesserai de chanter ces paroles, jamais…Je m’accrocherai à cet affleurement rocheux pour survivre et ne pas tomber dans les abysses insondables de la folie et des ténèbres. Je continuerai à me battre, à hurler et à supplier, car je ne peux rien faire d’autre, non, rien, sauf chanter et pleurer le passé. Ah…Que le Temps passe vite.

Je m’adosse au grand rocher, je fixe d’un air impassible les chaînes d’un noir acidulé enserrant mes pieds, mes bras et mon cou. Qui suis-je désormais ? Je n’existe pas, je n’ai jamais existé. C’est une simple vérité, détruisant tout ce que j’avais construit, mes espoirs, ma quête…Ah, la douleur est toujours aussi insupportable. Tu ne me rendras jamais mon corps, n’est-ce pas l’Ami ?

Ma bouche se pinça, dans une mimique agacée par ma propre idiotie ; je ne devais pas égarer mon esprit, ou sinon tout était perdu. Un léger sourire se peignit sur mes lèvres bleutées, ma main passa dans mes cheveux d’argent et effleura l’horloge sanglante sur mon front. Un jour, je la ferai disparaître, l’Ami, et ce jour-là, tu seras mort. Oui, l’Ami, je promets de tuer, car tu es une menace pour ma famille, pour nos Mères et pour leurs Trésors…Mais je n’y arriverai pas, non, j’aime bien trop les Mortels pour cela.

Je sentis quelque chose me happer, goulument et rapidement. Mes yeux s’écarquillèrent quand je me suis rendu compte qu’il s’agissait du rocher lui-même. Ma main s’ouvrit, paniquée sans que je ne puisse crier. Allais-je mourir ? Pourtant, la Mort ma sœur ne peut pas vouloir me tuer, n’est-ce pas ? Non…Elle n’a pas le droit, unh ? Les battements de mon pauvre cœur s’accélèrent et je fus englouti dans une obscurité chronique.

Je ne pouvais plus chanter.


Je battis des paupières, la lumière revenue, l’air entrant dans mes poumons dans une danse joyeuse. J’ouvris ma bouche, avalant une immense goulée d’air. La douleur est immense, dans ce monde…Si terrible, si colorée, si unique. Je n’arrive pas à m’en défaire, qu’importe mes sourires, mes danses et mes chansons, il y a toujours un morceau de douleur s’accrochant obstinément à mon cœur, plantant ses crocs avides dans ma chair. Un rire glacial me sortit de mes pensées. J’ai levé la tête, ne comprenant toujours pas où j’étais, mais l’Ami était là, me tournant le dos. Alors, le monde s’en fût.

Mes pieds me remirent debout. L’Ami est là. Mes yeux se plantèrent dans son dos. Il ne me regarde pas. Rends-moi mon corps. Les larmes me montent aux yeux. Rends-moi ma vie. Mes jambes me portent vers cet être, toutes griffes dehors. Arrête cette souffrance. Rends-moi mon corps !

La chaîne se tend, je pouvais le frôler de mes doigts. Un hurlement s’éteignit dans ma gorge étranglée par le fer, devenant un gargouillement sinistre, du sang sur mes lèvres froides. Je m’écroule en arrière, n’arrivant plus à reprendre mon souffle, crachant ce liquide pourpre me faisant frissonner, crachant mon désespoir et ma douleur sur ce sol desséché. Mes mains prennent ma gorge, comme pour la protéger, grattant le fer et la peau à vif dépassant, mes doigts saignant sous cet effort vain. Le cliquetis de ma prison me suit comme la musique sinistre de ce Mortel ignoble…Pliée en deux, asphyxie totale face à cet étranglement, hurlement silencieux tel un déchirement.

J’aurais tant voulu chanter, en cet instant…
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MessageSujet: Re: [EVENT]Au plus profond des Mines - LIBRE   [EVENT]Au plus profond des Mines  -  LIBRE Icon_minitimeMer 11 Jan - 21:02

Double-post sorry !! C'était juste pour savoir où en était l'event ? =O
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Ganondorf
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MessageSujet: Re: [EVENT]Au plus profond des Mines - LIBRE   [EVENT]Au plus profond des Mines  -  LIBRE Icon_minitimeVen 1 Juin - 15:04

Une voix de femme résonnait dans sa femme.
Des plaintes. Des supplications. Des pleurs. Et cette fillette qu'elle venait de voir comme dans un rêve nébuleux, empris à un délire d'endormi... Il grinça des dents. Ses cheveux blancs, cette peau blâfarde comme l'ivoire le plus pur qu'il soit, ses yeux brillants d'une lueur de désespoir en écho avec ses perles liquides qui coulaient le long de sa peau d'albâtre... Et ses chaînes noires qui la condamnaient à rester immobile jusqu'à la fin du Temps lui-même.

Tout cela lui avait donné la délicieuse envie de rire. Devant une personne aussi faible, fébrile, que dire, inutile, il ne pouvait s'empêcher de s'en moquer.

Et ça n'allait pas être une entité telle qu'elle qui allait l'arrêter, oh que non! Dès que l'étincelle de son idéal avait jailli de son esprit, il n'avait souhaité qu'une chose en retour: Que personne ne l'arrête dans sa quête de pouvoir, d'Absolu. Oui l'Absolu, voilà bien ce qu'il visait depuis maintenant bien longtemps. Comme un désir viscéral qui vous saisit de tremblements puis de spasmes, qui ensuite vous torture l'estomac, le corps entier jusqu'à sa pleine satisfaction.
Alors pourquoi s'occuper d'un grain de sable abandonné dans l'éternel Sablier du Temps?
Pourquoi se soucier du devenir de ses pathétiques hyliens qui avaient jadis percécuter son peuple pour finir par le rejeter dans le désert? La seule chose qui le préoccupait n'était que son propre objectif: Le total pouvoir de la Triforce.
Bientôt son profond désir de soif du pouvoir allait être satisfait.

Soudain, alors qu'il était revenu auprès de sa monture, des gérudos étaient sortis de l'ombre pour aller le saluer: des espionnes à son service évidemment.

- Alors, où en est-on? Demanda-t-il de sa voix sèche et glaciale.
- Monseigneur, nous avons repéré où pourrait se cacher la dernière pierre spirituelle. Elle se trouverait auprès du peuple Zora, gardée par leur princesse.

Il hocha de la tête. Bien sûr qu'il s'en doutait. Après avoir écouté bon nombre de légendes et bien sûr lu de vieux grimoires au sujet de la mythique Légende de la Triforce, il avait supposé que le saphir Zora était resté à sa place durant tout ses siècles, même malgré les catastrophes naturelles ou encore les guerres.
Et même si ce peuple de l'eau était quelque peu reclus dans leur domaine aux parfums d'un paradis aquatique, il ne pouvait pas s'empêcher d'avoir des contacts avec le reste de la population d'Hyrule. Et Ganondorf savait très bien que la princesse Ruto devait s'occuper du Grand Jabu, créature adorée par les Zoras.
Il soupira lourdement, d'un air ennuyé, et monta dans un mouvement ample sur sa monture à la robe d'ébène, suivi par les Gérudos, s'apprêtant à continuer ses recherches d'un côté et négocier avec le roi d'Hyrule de l'autre. Quel pauvre idiot... aveuglé par l'utopie de voir Hyrule vivre en pleine harmonie et symbiose...

Le Temps de la Guerre était proche.
Le Temps pour le Sang s'approchait à grands pas.
Le Temps de la Vengeance allait bientôt frapper à leurs portes.

Personne. Personne ne pouvait l'arrêter. Il en était certain!


Vraiment désolée pour le temps de réponse les gens ><"
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