Incompréhension des soldats

Sheik était allongé dans la plaine d'Hyrule à rêvasser quand soudain, une idée d'occupation lui vint à l'esprit. Il décida de se rendre au château d'Hyrule pour veiller à la sécurité de la princesse Zelda. Il arriva à l'entrée, déjoua les gardes et parvint à accéder à la fenêtre de la chambre de Zelda.
La princesse n'était pas là mais au moins Sheik avait trouvé un endroit paisible en auteur où il avait une vue imprenable ! Il s'allongea sur la fenêtre et taillé un bout de bois en forme de pic.

Au bout d'un certain temps, il rentrât discrètement et pris un livre, il le feuilleta, fit le tour de la pièce, souffla et repartit à la fenêtre.
Sheik se reposa encore et toujours quand la porte de la chambre s'ouvrit brusquement le faisant s'asseoir les jambes à l’intérieur de la chambre. Sheik les regarda surpris. Les gardes fit le tour de la pièce, il n'y avait pas la princesse. Ils regardèrent Sheik avec effroi.

-Qu'avez-vous fait de la princesse ?
-Quoi ? Mais rien du tout elle n'est pas là !

Les gardes ne le laissèrent pas finir sa phrase et attachèrent Sheik en le poussant dans le couloir. Il ne cessait de se défendre en criant un appelle au secours désespérer à le première personne qu'il vit. Il ne savait pas quoi dire car les gardes l’empêchaient de prononcer un mot. Les gardes fit descendre Sheik et le lâchèrent dans la citadelle en le grondant et lui assurant que la prochaine fois il irait en prison.

Sheik se retourna et vit les Hyliens entrain de le dévisager, il fut gêné car il n'aime pas trop le monde, et il repartit s'allonger dans l'herbe des plaines.

-Non mais franchement, moi qui voulais les aidez... Tant pis...

Quelle belle journée !

Voici ce qu'affirmait la princesse, elle était dans les jardins, avec une petite robe mignonne. Des gardes la surveillait. Elle marchait tranquillement dans les allées sans fin du château.
Une vie comme la sienne, beaucoup la rêvait. Son désir extrême de faire d'Hyrule un monde paix, sans guerre ni quoi que se soit. Un havre de paix, de prospérité. La princesse ferma les yeux un instant, mais les ouvrit soudainement. Du bruits et des "cris" venaient de sa chambre. Zelda souleva sa longue robe et commença à marcher assez rapidement. Les gardes la voyaient et prenaient l'air de ne rien comprendre. Mais elle s'aperçut vite les gardes monter dans sa chambre. La princesse prit une vitesse plus rapide et arriva en haut du grand escalier central qui menait à sa chambre.

Toute essoufflée, rapidement elle atteint sa chambre. Les gardes avaient entre leurs mains quelqu'un, elle s'approcha et vit un jeune homme blond.

Gardes, qui est-ce ?

Ils ne répondirent pas et elle les suivis. Non mais que faisaient-ils en réalité ? Un homme voulait l'enlever ou lui voulait du mal? La princesse, descendait de nouveau les escaliers et ses gardes jetèrent l'homme en blond dehors du château. La princesse se précipita dehors aussi, regardant le jeune homme par terre qui partit s'allonger dans l'herbe.

Sheik était toujours allongé , il soufflait de dégout. Il regardait le ciel. Au bout de quelques minutes, il se leva, s'étira, et tourna doucement la tête. Il se frotta les yeux encore et encore. Il vit Zelda et se frotta de nouveau les yeux comme si il essayer de se réveiller d'un rêve. Quand il compris que c'était le réalité, il se leva et s'inclina. Il se redressa et toussa.

-Bonjour à vous princesse Zelda, Je suis désolé si je vous ai offensé, mais je n'était là que pour votre bien ! Bon certes vous n'étiez pas dans votre chambre, mais on sait jamais si un voleur voulais rentrer ou... Et puis vos gardes ne sont pas responsables, ils ne m'ont pas laissé expliquer, je suis un Sheikah, je ferais tout pour vous protéger, mon honneur en dépend, jamais ! Jamais ! Jamais je n'aurais osé vous faire du mal. Je ne sais vraiment pas quoi dire, mon dictionnaire n'est pas très évolué en langue soutenue...

Sheik sort un dictionnaire de son foulard, le feuillette vite fait et reprend :

-Je suis du plus profond de moi, infiniment désolé, mais il y a méprise. Vos gardes sont des scélérats, non quand même pas... Vos gardes se sont trompé et... Bon tout ca pour dire que je ne vous veux que du bien et que je ne suis pas un méchant, et la preuve est que je suis un Sheikah ! Voilà. Euh... Voilà...

Sheik reste là, se mit à rougir et se tripotant les doigts, d'un air vraiment gêné.

La princesse se rapprocha de lui se qui le fit devenir pourpre. Il était très gêné de parler avec un membre de la famille Royale, surtout après que les gardes l'ai jeté dehors. Il se dit que si quelqu'un voyait la princesse en compagnie de quelqu'un qui se serait infiltré dans sa chambre pourrait coûter cher a la princesse comme a lui même... surtout a lui en fait...
Il baissa la tête géné puis se redressa quand la princesses commenca a parler :

-Bien le bonjour, c'est donc toi que les gardes ont jeté dehors. Tu dis que tu voulais me proteger ?

-Tout à fait, et a parement j'ai bien fait car si j'ai pu m'infiltrer quelqu'un de malhonnête aussi aurait pu...

-Tu sais, avec les gardes, personne ne peut rentrer sauf cas execptionnels. 

-Je m'excuse de mon intrusion, vous m'en voyait vraiment gêné... Je m'excuse encore : Désoler...


-Ma foi, puisque tu avais l'air de bonne intention mon jeune ami. De même, tu es un Sheikah tu me disais ? Dans ce cas la je ne comprends pas la réaction des gardes.


-Moi non plus... En tout cas je suis désoler de vous avoir dérangé et …

La princesse regarda le château, puis me regarda, elle avait un regard paisible et me demanda de la même façon :

-Quel est ton nom ?

Je fus un peu surpris de sa question. Je ne pouvais pas lui répondre : Et vous ? Ça aurait était débile car je savais très bien quelle s'appelait Zelda, mais je ne savait pas par quoi enchaîné donc je répondit tout simplement :

-Je me nomme Sheik, et je suis l'un des dernier Sheikahs d'Hyrule... Et je suis né pour protéger la famille Royale D'Hyurle.

Je m'inclinais, et attendit la réponse de la Princesse.

Un garde arriva et demanda à la princesse si elle allait bien, et elle le gronda de ne pas jeter un Sheikah de cette manière. Il s’en allait.

Allons faire un tour, les gardes ne te ferrons rien… Lui dit-elle calmement.

Il inclina la tête en guise de « oui ». La princesse avait l’air heureuse, il la suivait, se promenant dans les jardins majestueux du château, c’était la première fois qu’il pouvait se déplacer librement dans le château sans être obligé de se faufilé entre les gardes comme il le faisait d’habitude…

Un petit air fit bouger ses cheveux et son foulard. A voir son physique, c’est vrai qu’il sortait du commun. Tout le monde autour de lui avait des tenues si simples et communes. Lui, il se cachait le visage, ce qui peu être suspect, ensuite, sa tenue n’est pas celle d’une personne qui vit en communauté. Le symbole des Sheikahs sur son habit fait parfois peur au gens qui ont connus de mauvaises légendes sur son peuple. Il ferma les yeux quelques secondes le temps que la princesse s’étire et que le vent le rafraichisse. Quand soudain il entendit un bruit suspect. Il se retourna brusquement.

Vous avez entendue ? C’était comme si quelqu’un nous suivait, il y a eu un bruit dans les buissons…

Tout en restant sur ses gardes, il continuait de suivre la princesse. Une magnifique fleur apparut devant lui, il se précipita dessus pour la sentir, il fit une grimace car en fait cette fleur sentait atrocement mauvais. Il regardait la princesse avec un peu de honte, il se doutait qu’elle elle savait que cette fleur sentait mauvais.
Il continuait sa route comme si de rien n’était. Quand soudain le bruit se refit plus violent. En un éclair il se retrouva dans le buisson, tenant quelqu’un le couteau sous la gorge. Il se rendit compte quelques secondes après que c’était en fait un garde.

Mais enfin à quoi vous jouez ?

Je voulais m’assurer de la sécurité de la princesse ! Ce n’est pas prudent de la laisser traîner avec des inconnus !

Sheik fronça les sourcils vexé et jeta le garde sur le côté. Lui tourna le dos, baissa la tête un peu dégouté.

Je ne suis pas un inconnu !

Il regarda Zelda, les sourcils toujours froncés. Il a été beaucoup vexé par les propos du garde. Il respira profondément, et son visage devint plus serein. Il fit un signe de la main à Zelda pour lui dire de continuer à marcher et de ne pas s’attarder.