Incompréhension des soldats
Sheik était allongé dans la plaine d'Hyrule à rêvasser quand soudain, une idée d'occupation lui vint à l'esprit. Il décida de se rendre au château d'Hyrule pour veiller à la sécurité de la princesse Zelda. Il arriva à l'entrée, déjoua les gardes et parvint à accéder à la fenêtre de la chambre de Zelda.
La princesse était là assise paisiblement sur une chaise, en train de bouquiner un livre qui avait l'ai très intéressent car elle était tellement absorbé qu'elle ne se rendit pas compte de la présence de Sheik. Il s'allongea sur la fenêtre et taillé un bout de bois en forme de pic. Au bout de quelques tant, Sheik avait les mains derrière la tête et Zelda avait fini son livre. Elle tourna la tête vers la fenêtre et surprise vit Sheik. Elle le dévisagea tout en s’avançant vers lui. Il avait les yeux fermé donc ne l'a voit pas s'avançais doucement vers lui. Elle était toute proche et le fut sursauter en prononçant ces mots :
-Tu es un Sheikah ?
Après avoir repris ses esprits et son souffle, il s'inclina et lui expliqua ce qu'il faisait là, qu'il était là pour assurer sa protection :
-C'est gentil à toi Sheik, mais j'ai une centaine de gardes qui surveillent le château.
-Mais, ils ne m'ont pas trouvé ! Et pas attrapé !
-Très bien.
Sheik la regarda interloqué, et elle prit un autre livre.
-Vous ne trouvez pas ça un peu ennuyant de trop lire, princesse ?
-Je me cultive, c'est intéressant...
Sheik se reposa encore et toujours quand la porte de la chambre s'ouvrit brusquement le faisant s'asseoir les jambes à l’intérieur de la chambre. Plusieurs gardes rentrèrent en folie, Zelda aussi fut surprise.
-Pardonnez notre intrusion Princesse Zelda, mais nous avons repéré un voyou dans votre chambre, à votre fenêtre, nous venons le capturer.
-Eh bien c'est-à-dire que...
Les gardes ne la laissèrent pas finir sa phrase et attachèrent Sheik en le poussant dans le couloir. Il ne cessait de se défendre en criant un appelle au secours désespérer à Zelda. Elle ne savait pas quoi dire car les gardes l’empêchaient de prononcer un mot. Les gardes fit descendre Sheik et le lâchèrent dans la citadelle en le grondant et lui assurant que la prochaine fois il irait en prison.
Sheik se retourna et vit les Hyliens entrain de le dévisager, il fut gêné car il n'aime pas trop le monde, et il repartit s'allonger dans l'herbe des plaines.
FIN