Link - The Courage.

Physique :

Enfant :
Je suis petit, je dois faire un mètre et quelques centimètres. Je porte une tunique verte et des bottes brunes très confortables et résistante à tout ! A ma taille, j’ai une ceinture en cuire avec une jolie boucle argentée, j’y mets une petite sacoche où je peux mettre un nombre incroyable de chose ! Je porte une seconde ceinture dans le même genre en bandoulière, ou je peux y glisser l’épée Kokiri et y accroche mon bouclier Mojo dans mon dos.
Ma peau est pâle malgré le fait que j’aime bien faire de petite sieste au soleil et que je vie dans la forêt. J’ai les yeux bleus et beaucoup de personne pense qu’ils ont la même couleur que l’eau du lac Hylia. Mes cheveux sont courts et blonds. Aussi jaune que le blé. Ils sont tout doux et il reste bien aux chauds dans mon petit bonnet vert !
Sur ma main droite, une étrange marque dorée prend de plus en plus forme. Elle a la forme de trois triangles. Plus tard, j’appris que c’est la marque des déesses, appelaient Triforce.

Adolescent/Adulte :
Lorsque je travaille à la bergerie de Toal et que je vis en communauté avec le village, je porte un pantalon beige et large, m’arrivant un peu au dessus des mollets. Comme haut, j’ai prit un t-shirt blanc où il y a brodé de magnifique arabesque de la même couleur que mon pantalon. Par-dessus, je mets une double ceinture ventrale. L’une et d’un vert pâle et l’autre bleu foncé. Je les maintiens bien avec une petite bandelette rouge. Comme chaussure, ce sont des petites sandales confortables et très pratiques. Avec le temps, ma peau est un peu plus bronzée. Mais contrairement aux autres habitants du village, mes oreilles sont pointues. Je pensais que tout le monde en avait … serait-cela qui différencie les humains des hyliens ? Les oreilles rondes et les oreilles pointues …
Suite à un événement plus que dangereux, j’ai troqué ma tenue de berger pour la tunique du Héros des temps anciens. EN moi coule le même sang que lui. En plus d’être le Héros du temps, je suis celui des Temps Anciens. Ou alors, c’est la même personne… Et je trouve cela assez curieux, cette tunique ressemble beaucoup à celle des Kokiri !
Mes cheveux blonds paille sont de nouveau cachés dans un bonnet vert. Je porte un sous-pull blanc, au dessus, une cote de maile et encore au-dessus, un haut vert qui m’arrive jusqu’à mis-genoux, maintenu à la taille par une ceinture en cuir noir. J’ai des gantelets bruns en cuir très confortable et protégeant bien des attaques mineurs visant les doigts et évite toute sorte d’entaille avec la corde de l’arc. En bas, c’est un pantalon brun normal, collant aux jambes. Enfin, je porte des bottes, toujours en cuir brun, allant avec les gantelets, elles me montent jusqu’au dessus des genoux. Que je marche dans l’eau, dans la neige ou dans du sable, il n’y a que face à la lave qu’elles sont inefficaces !

Loup :
Les déesses s’acharnent vraiment sur moi ! Un jour, je me suis réveillée dans une cellule sans vraiment comprendre pourquoi. Les couleurs autour de moi était étrange, de fine particules noirs montaient sans jamais que ça ne m’arrêtent. Un lutin aux cheveux orange au nom de Midona m’informa que nous nous trouvions dans le crépuscule et que, ne pouvant garder ma forme humaine, je fus transformé en loup. En un loup avec un pelage gris et blanc gardant toujours, mes yeux océan à l’allure sauvage. Sur ma patte droite, on peut y voir clairement, la marque des déesses.

Tenue Zora :
Lors de mon périple, je fus confrontée à un très gros problème : un des temples que je devais délivrer des forces de Xanto se trouvait au fond de l’eau. Hors, malheureusement, je ne teins pas des heures et des heurs sous l’eau sans pouvoir respirer l’air libre. J’ai aidé le prince Lars, le prince des zoras, à rester en vie en l’emmenant à Cocorico. Là, j’ai vu l’âme de sa mère me demandant de la suivre.
Je l’ai suivit jusqu’à la tombe de son mari qui sera aussi, sa dernière demeure. Elle m’a alors donné une tunique me permettant de respirer sous l’eau et de nager comme le fond les zoras. Elle est simple. Elle est de couleurs bleues, noires et argentée. Les bottes que j’ai avec celle-ci sont des nageoires. Le casque (qui est plus un bonnet bleu, maintenu par des extrémités métalliques. Ces derniers retiennent un masques qui va du bas de mon coup jusqu’au haut du nez. Le tissu est noir et l’eau ne peu passer au travers. Je respire comme si je me trouvais sur la terre ferme.

Sept ans de ma vie ce sont écoulés alors que je sommeillais.
A mon réveille, Rauru, sage de la lumière m’apprit que j’étais le Héros du Temps et que j’étais en réalité, un Hylien. Mido avait raison, j’étais bel et bien différent d’eux. Et cette révélation me fit encore mûrir. J’oubliais vite fait bien fait de foncer dans le tas, et j’ai apprit à réfléchir, à faire face, à cacher mes sentiments au plus profonds de mon être.
Je me suis endurci moralement et physiquement. La douleur je l’envoyais plus loin et je n’y faisais attention qu’à la fin d’un combat.

Plus les jours passaient, plus je me suis rendue compte que je n’étais plus un gamin insoucieux du danger. Mais, bien ses sep années d’oublis, j’étais devenu un humain un vrai.
Calme. Posé. Réfléchis.

La guerre finit, je suis retournée dans mon temps, déçut que Navi soit parti. Je suis allé dans ma forêt et à tout le monde je leur ai dit que je devais voyager, que mon corps et mon âme étaient fait pour cela. Que je ne pouvais tenir en place. C’était aussi, pour oublier mon amour envers Zelda.
J’ai découvert le monde sans monstre.
Vers mes quinze ans, je me suis installé dans un village paisible. Les habitants m’ont vite adopté et moi je les ai aidés. Surtout à la bergerie. Jai revu la petite jument qui m’avait tant aidé… Epona. Et elle est restée avec moi.
Les enfants du village de Toal m’adorent bien que je ne comprends pourquoi. Mais je ris avec eux et je me rappelle de mon enfance et de Saria.

Les souvenirs affreux, je les perds. Et mon sourire revient.
Et sans comprendre pourquoi, une certaine timidité aussi. Je parle moins, mais quand j’ouvre la bouche, on ne m’arrête plus.

J’ai apprit à connaître la vie et la paix. Dans ces moments là, je souris.
Et quand il faut combattre, je redevins réfléchi.

Mes nuits commençaient à être très agitées. Je me retrouvais dans une plaine, devant une muraille en pierre. Un pont en bois descendait face à moi et un cheval blanc passait à mes côtés avec une fille maintenant avec force par une autre femme. Je les regarder partir sans comprendre jusqu’à ce qu’une autre monture s’arrête à ma hauteur avec un homme aux cheveux roux et à la beau brune. Il me lançait à chaque fois ce même regard noir. Et je me réveillais toujours à ce moment là.
Aujourd’hui, ce fut un réveille différent. Car c’était une petite voix hurlant des choses que je n’arrivais à comprendre. Une petite lumière dansa dans mes yeux. Je fronçais les sourcils et quelle fut ma surprise de voir que c’était une fée ! J’en avais enfin une ! Plus personne, pas même Mido ne pourra se moquer de moi. J’avais maintenant la preuve formelle que j’étais un véritable Kokiri et personne ne dira le contraire !

- Je m’appelle Navi ! me dit-elle d’une petite voix joyeuse, Le vénérable Arbre Mojo m’a choisi pour être ta partenaire !

Une joie immense fait bondir mon cœur dans ma poitrine. J’ai tellement envie de lui faire rencontrer Saria, que je pars en quatrième vitesse et finis par m’écraser sur Mido qui scier le plancher à côté de mon lit. Comme à l’accoutumer, nous nous apprêtions à nous disputer quand l’apparence de la forêt nous arrêta. Les herbes et les feuilles étaient sèches et brunes.

- Il se passe quoi ? demandais-je en me relevant
- Tu ne m’as pas laissé finir ! gronda Navi en voletant autour de moi, Le Vénérable Arbre Mojo veut te voir !

Je hochais la tête et commença à partir en courant. Mido me chopa par le poignet et brandit une épée : l’épée Kokiri.

- Je suis le chef des Kokiri et c’est moi qui possède notre célèbre épée ! me nargua-t-il, Celui qui doit se rendre auprès du Vénérable Arbre Mojo, c’est moi !

Bien évidement, je n’avais rien à répliquer. A mon grand étonnement, Navi vint me défendre en cria à gorge déployée sur Mido qui se ratatina. Elle me fit un signe de la suivre et c’est ce que je fis. Et Mido m’accompagna, trainant des pieds derrière moi.

Nos yeux s’ouvrirent grand et nous retenions tous un cris de frayeur. Des feuilles par centaines m’acculaient les racines de notre père et son écorce était brun et sèche, comme le reste des plantes autour de nous et dans le village.

Je dû aller dans un château pour y rencontrer la princesse Zelda. Frêle jeune fille apeurée de voir quelqu’un ayant réussis à franchir tous les gardes. Et puis, à mon grand étonnement, elle parla de la pierre Kokiri, pierre qu’elle savait sur moi. Et elle me parla de ses rêves. Je ne compris pas très bien. Elle ne me connaissait pas. Je ne la connaissais pas. On ne se connaissait même pas.
La blonde finit par s’arrêter, toute souriante, se détourna de peu et chercha quelque chose dans l’une de ses poches de sa longue robe blanche et rose. Elle en sortie un ocarina. Le même que Saria mais de couleurs différentes à la sienne. Le mien brune, le sien bleu. Le mien simple le sien avec une marque à trois triangle d’or sur le sifflet.

- Ceci est l’ocarina du temps. me dit-elle de sa douce voix enfantine, C’est un cadeau de ma mère défunte, qui l’a eu de sa mère qui elle aussi l’a eu de sa mère. Cet ocarina ouvre les portes du temps du temple du temps. Un objet très précieux. Si tu obtiens les trois pierres ancestrales et que tu entonnes l’orbe du temps, le chemin de la Terre d’or s’ouvrira à toi et tu atteindras la Terre d’or. Si tu es un homme digne, Hyrule connaîtra l’âge d’or. Si tu es un homme au cœur noir, Hyrule connaître cahot et sang.
Dans mon rêve, vois-tu, je vois le ciel s’assombrir. Et puis, un garçon tout de vert vêtu, tout comme toi, apparaît, entouré d’une fée et de lumière.

Je penchai un peu la tête sur le côté et du coin de l’œil, j’observais Navi sans vraiment comprendre. Je finis par faire un timide sourire. Ce ne pouvait être moi après tout. J’ouvris la bouche, mais, une nouvelle fois, elle me coupa de court.

- Je parle, je parle ! Mais je ne me suis pas présenter. Je suis Zelda, princesse d’Hyrule !

Cette remarque me fit presque rire. Je l’avais deviné. La seule à s’habiller aussi bien dans toute la ville. Ville que je n’ai pas vraiment bien regardé tellement je m’étais dépêché pour la trouver.
Elle se tendit dans un sursaut et alla à la fenêtre et mit fis signe de la suivre. Je la rejoins.

Un regard noir de haine croisa le mien.
Un regard qui glaça mon sang et lui fit faire un tour complet en moi. Mon cœur accéléra dans ma poitrine. Ce regard de braise, de haine ne demandant que mort et désastre ne me faisait pas froid dans le dos. Bien au contraire. Il me donnait envie de me confronter aussi.
Il sourit et j’en eus un frison.

J’accélérai soudainement le pas.
Le soleil brillait de mille feux et pourtant … plus je me rapprocher du château, plus d’épais nuages noirs arrivaient pour le surplomber. De loin, je pouvais entendre le bruit de flamme, des cris d’agonie, de peur. Il y avait aussi, comme des bruits de fer qu’on entrechoquait. Non, ce n’était pas le cas. Il y avait bien des bruit d’arme qu’on entrechoquait les unes contre les autres.
Je fis des enjambés plus grandes, j’oubliais ce point de côté épuisant, cette fatigue insupportable et je continuais de courir, encore et toujours.

Mais à peine fus-je arrivé, que le pont-levis se baissant dans un long grincement. Des sabots piétinaient le sol de l’autre côté, pour traverser les planches de bois à toute allure. Un bel étalon blanc à la crinière d’argent. Mes yeux s’ouvrirent en grands. Zelda ! Une autre dame la tenait sur la scelle. Difficilement, je vis la princesse se tourner vers moi pour me lançait quelque chose qui tomba dans la fosse d’eau.

Je n’eus le temps de la poursuivre, ni de ramasser l’objet.
Le regard noir de haine et rouge comme la braise se posa sur moi.

- Dis-moi gamin. N’aurais-tu vu un étalon blanc sortir d’ici ?

La voix me fit hérisser l’échine. Comme remonté en pendule, je me retournais vers Ganondorf, roi des voleurs, partisan du mal et désireux de la Triforce. Sa monture en robe noire et une crinière de feu au sens littéral du terme, sied parfaitement à son maître.
Je pris mon épée en main ainsi que mon bouclier. En position de garde, j’attendais un quelconque signe d’attaque. Je n’avais aucune chance. Je le savais. Pour lui, j’étais simplement haut comme trois pommes, un misérable insecte.

- Tu te refuses de parler ? Et puis-je donc savoir qui tu es ?
- Je suis Link. Répondis-je d’une voix forte sans tremblement de peur ou d’excitation, Je suis du village de Kokiri, et j’ai été élevé par le Vénérable Arbre Mojo !

Je senti Navi se glisser dans mon bonnet. J’ai donc sauté vers cet homme du désert, voulant lui administrer un coup d’épée puissant. De son bras, il se protégea et il n’eut aucun dégât. Son autre main attrapa mon cou et le serra. Un faible glapissement de surprise et de douleur s’échappa de ma gorge.

- Je repose ma question, as-tu vu une monture passer par ici ?

Je ne fis aucun signe de main, de tête. Je cherchais juste à respirer, à me libérer. Mes armes tombèrent dans un bruit sourd au sol.

- Tu crois que le silence te sauvera ? Pauvre inconscient !

J’entendis des grésillements. Une sorte chaleur se posa avec une violence phénoménale qui, dès qu’il lâcha mon coup, je fus jeté à quelques lieux de là. Il rit d’un rire glacial et lança son cheval au galop.
Une forte toux anima mon corps quand je cherchais à me relever.

- Link ? Tout va bien ? Tu veux que j’aille te chercher une potion ? s’enquit ma petite Navi
- Non … c’est … c’est bon …

Je me remis debout, une main sur mon ventre brûlant. Ganondorf n’était plus en vue. Je pris une grande inspiration et sauta à l’eau. En remontant, je sorti l’ocarina du temps. Seul objet que m’eus confié la princesse en ce temps.

Sept ans ce sont écoulés. Je n’ai plus la taille d’un enfant, me voici adulte.
Je ne suis pas un Kokiri, mais un hylien. Je n’ose y croire. Mido avait donc raison …

Temple par temple, je me bats contre les monstres les plus terrifiants les uns que les autres. Mais rien ne me ferait regretter ma paisible vie d’avant. J’ai envie de me battre, tout simplement. Seul, j’apprends plusieurs techniques d’attaque. Seul, j’apprends à inventer mes propres attaques et à monter des pièges.
Et sage par sage, je délivre Hyrule. Redevenant enfant quand je pose l’épée dans son socle et redevenant adulte quand je la libère. Une routine que j’ai appréciée et me voilà maintenant, face à Sheik qui est en réalité Zelda. Je suis incapable de dire quoi que ce soit. A peine la légende raconté, qu’elle se fait enlever par Ganondorf.

Mon sang bouillonne, ma rage est forte et elle grandit en moi. Je traverse la citadelle pour rejoindre la tour du seigneur du malin. Les sages m’ouvrent un passage et, une fois à l’intérieur, je franchis de nouvelles épreuves qui n’ont qu’un but : me fatiguer et me faire perdre la vie. Les barrières s’effondre les sages récupèrent leur pouvoir. La voix est libre.
Encore quelques lézards et quelques stalfos à vaincre. Je prends quelques fées avec moi et je franchis la dernière porte. J’entends de l’orgue. Une mélodie cruelle et froide. Je franchis les derniers escaliers et me voilà face à lui et Zelda, enfermé dans un cristal, surplombant la salle.
L’orgue disparait, je le vois brandir son point.

Une douce chaleur m’envahit. Ma fatigue part, mes blessures guérissent.

Un cri de rage. Je sors Excalibur pour un combat sans merci où qu’une seule et unique personne survivra. Zelda prit, se bouche les oreilles lorsque je me fais toucher. Navi vole partout, ne sait quoi faire. Le sol tombe, je renvois ses attaques il me les renvois. Il se fait toucher je sors mon arc. Ma flèche s’illumine de lumière. Il est aveuglé. Je tire.
Il tombe à terre.
Il pousse un hurlement d’agonie tout s’effondre. Zelda est libérer. Je n’attends pas de remercîment, je la prends par le poignet et je la tire par le poignet. Nous dévalons l’escalier, évitant les blocs de terre enflammés. Le temps et arrêter. Mes jambes ont comme l’impression d’avancer dans le vide. Navi m’encourage. Nous franchissons la sortie et tout s’effondre, s’engloutit dans un néant invisible.

Un sourire illumine nos visages. Nous allions crier notre joie lorsque, dans les décombres, un bruit se fait entendre. Je fais reculer la princesse, et, Excalibur à la main. J’avance prudemment. Un vent glacial fait apparaître un mur de flamme. Sous les ruines, Ganondorf se relève et vol dans le ciel. Il en rage folle, dans une rage tellement dévastatrice, qu’il se transforme en une bête difforme qui fait voler mon épée plus loin.
Je suis contrains d’utiliser une épée plus lourde mais bien plus efficace. Sa queue est son point faible. Je la touche difficilement à plusieurs reprises où il devient plus enragé à chaque fois.
Il finit par s’effondrer. Le mur de flamme disparait, mais pas assez pour que je puisse passer. Zelda, l’attrape donc et me l’envoi du mieux qu’elle peut. Ganondorf n’aura pas le temps de se relever. Je lui plante ma lame dans son joyau.

Zelda nous a fait retourner dans le passé. Auprès des gardes, j’ai apprit d’autres techniques. Je suis retournée voir Malon et je lui ai demandé de me confier Epona. Au départ, elle n’a pas voulu. Quand ma petite jument adorée est venue se frotter à moi, elle a accepté. Je lui ai promis d’en prendre bien soin et c’est ce que je ferais.
Je veux partir. Zelda est triste mais elle le comprend. Elle m’apprend une mélodie et me confie son Ocarina du Temps.

J’ai visité les déserts, les mers et les forêts. J’ai empêché la lune de tomber sur Termina. J’ai vu le monde changer petit à petit. Sur les Terre de Firone, je me suis arrêter et j’ai rencontré Moï, le seul bretteur d’un petit village de berger. Un village paisible. Fort paisible.
Les habitants, forts gentils, mon demander de rester ici. Il y avait à faire, jamais je ne m’ennuieré. J’ai accepté et j’ai caché mon arme et mon bouclier. L’Ocarina, quelque part, là où personne ne viendra le chercher, je l’ai enterré. Par moment, je garde les enfants et pour me remercier, Moï m’apprends de nouvelle technique.

Mon passé, je l’oublie peu à peu. Non, en réalité, c’est lui qui se cache a plus profond de ma mémoire. Il se noie, il disparait. Il ne veut plus pensé à l’atrocité du passé. A mon grand regret, j’oublie aussi, cette demoiselle aux cheveux verts et aux yeux bleus. Cette jeune fille à la taille d’enfant. Je la vois en rêve parfois. Je n’arrive jamais à lui demander son nom. Elle, elle me dit juste que, malgré l’éloignement, elle veillera.

Sept ans s’écoulent sans difficulté.
Je les vie dans une grande joie. Les enfants du village m’adorent. Surtout la jeune fille du chef, Iria. Douce et souriante, impossible de savoir quand elle se met en colère. Mais quand elle crie, elle crie. Surtout quand Epona est blessée.

Dans un cas comme celui-ci, tout recommença.
Je parler avec elle, Colin expliquait à Iria pourquoi ma douce jument s’était blessée. Pour sauver Fenrir. Epona lui fait comprendre qu’elle ne m’en veut pas et qu’il ne fallait pas en faire un drame.

- Je te promets Iria, de revenir sain et sauf de mon voyage à Hyrule. Je dois juste aller au château d’Hyrule pour remettre l’épée et le bouclier à la famille royale.

Le sol trembla sous nos pieds. Pas le temps de nous demander ce qu’il se passer. Des sangliers brisent les barrières de bois, sur leur dos, des créatures vertes cagoulée. Elle tire une flèche dans la nuque d’Iria et de Colin. Je me précipite pour les aider. Et ce fut le trou noir.

Tout re-défila dans ma tête. Le sang ne fit qu’un tour dans mon corps. Je me suis réveillé en sursaut et une petite voix lointaine m’a crié de partir chercher les enfants. Sans armes, sans rien, je me suis jeté sur le pont, j’ai couru à en perdre le souffle. La marque de la Triforce dans ma main brilla longtemps, longtemps.
Un mur noir bloqua ma route. Un mur noir avec des inscriptions orange. Une écriture différente de l’hylien. J’ai voulu reculer. Une main noire ma happée par le cou et ma tiré vers se mur. Je me suis débattu. Mon corps me brûlait de toute part. Je hurlais, je voulais respirer. La main serrait sa prise. Ma marque brilla alors. Et l main me lâcha. Je me suis tortillée au sol, hurlant sous la douleur de plus en plus vive. Mon corps s’est alors tendu au maximum. Et ce fut le néant une fois de plus.

A mon second réveille, je me trouvais dans une cellule, la patte attachée.
Oui, la patte. Je n’étais plus humain, j’étais loup. J’ai sauté de tous les côtés, j’ai aboyé. Et un petit rire m’a arrêté. J’ai alors grogné sur un lutin volant aux cheveux orange avec un casque masquant l’un de ses yeux. Une fille, elle a rit.

- Oh ! Que j’ai peur ! Moi qui venais te délivrer …

Ses mots mon calmé et effectivement, elle a fait fondre le fer qui retenait ma patte. J’ai creusé sous la porte, elle s’est mise sur mon dos.

- Tu te demande où on est ? Je te le dirais, si tu m’écoute et si tu m’aides.

Une boule bleue flottée. J’ai cligné une fois des yeux un soldat m’est apparue.
Le lutin a gloussé. Une sorte de rat noir difforme s’est alors jeté sur moi. Je l’ai broyé entre mes crocs et je suis parti dans un labyrinthe qui me semblait sas fin. J’avais du mal à me diriger, mon nouveau corps me semblait tout autre …

- L’instinct de survit, ça ne s’oublie pas ! m’a-t-elle dit

Facile à dire, difficile à faire. Elle m’a aidé à sauter de rocher en rocher. Plus j’avancé, plus je me demandé où j’étais. Il y avait tellement d’âme … Arrivé sur le toit, elle me pointa une tour. Il y avait une personne qu’elle voulait que je rencontre. J’y suis allée, en tuant d’étranges oiseaux sans tête ... enfin si, avec une tête aplatie avec des inscriptions rouge.

Une fois dans la tour, j’ai grimpé les marches les quelques marches qui me s’éparait d’une porte entre-ouverte.

Il y avait une personne portant une cape noire. J’ai grogné. Elle s’est retournée. Ses yeux bleus mon apaisé.

- Midona ? Voilà donc la personne que tu cherchais ?

Le lutin s’éleva dans les airs et lui tourna le dos.

- Pourquoi les créatures des Ombres te cherchent ?
- Qu’est-ce que j’en sais ? questionna le lutin avant de retourné à mes côtés, Mais explique lui où il est et pourquoi il a changé de forme… Princesse du Crépuscule.
- Je ne le dirais qu’une fois. Ecoute bien.

Elle m’a raconté un compte avec un roi du crépuscule et des monstres. Que le royaume n’avait plus de lumière et que tout le monde n’était qu’âme désintégrée à cause de la princesse qui avait dû choisir entre la vie de son peuple ou la mort.
Elle se releva et retira sa capuche. Son visage me dit quelque chose mais je ne sus dire quoi exactement.

- Je suis la princesse Zelda ! dit-elle avec force d’un un chuchotement

Les gardes venaient faire leur ronde, Zelda nous ordonna de partir. Par une fenêtre, nous nous avons fuit. Midona, car tel était le prénom du petit lutin alla loin devant moi.
Sur les toits, on fit un pacte. Elle m’aidait à récupérer les enfants de mon village et, en contrepartie, je l’aidais à récupérer certains objets qu’elle ne voulait me dévoiler l’existence.

En moi, mon sang bouillonnait. Je ne savais dire encore pourquoi et comment, mais, je voulais me battre. Je voulais sauver Hyrule. Je voulais, tout simplement, sortir l’épée de son fourreau, me protéger d’un bouclier et partir à l’aventure. Avec mure réflexion, et bien que je ne sache –une nouvelle fois- pourquoi, je voulais sauver encore une fois la princesse de se royaume.

Je suis l’Elu du courage, l’Elu que les princesses ont choisit.

Le RPG, ça ne me pose pas de problème (quoi que ... sur Link ... la première fois que je le joue.)
Je viens de lui proposer et j'attends sa réponse. Apparemment elle est d'accord, je viens de lui passer le lien. Au moindre souci, je l'aiderai avec vous.

Merci pour le compliment de la présentation ! J'aime illustrer mes textes des présentations pour aérer et donner un peu l'idée de ce que je souhaite faire passer aux lecteurs et surtout à l'admin qui me valideras ma fiche. Moins je mets d'images plus je réussi à décrire mon personnage et surtout, à me mettre dans sa peau.

J'espère que ma fiche te plaira.
J'ai hate de jouer aussi !

Je vais réfléchir à ton PS ! Comme groupe, je pense prendre Hylien, vu que Link est un hylien.
J'ai tout de même une question à te poser. Je vien de faire le physique et le caractère, l'histoire, je la ferais demain ou après demain. Le problème est que ... je n'arrive pas vraiment à faire autrement le caractère que maintenant. Alors, est-ce qu'il est accepté ou dois-je le retravailler ?

Merci de ta réponse.
Bien à toi,

Link.

Je suis rassurée au plus haut point pour le caractère ! Normalement, je n'ai pas autant de difficulter ... Ce doit être parce que je débute avec Link. Oui, ce doit être cela ...

Je m'attaque à son histoire ce soir et j'espère la terminée le plus rapidement possible ! La rentrée approche alors ... voilà. J'espère que cela ne posera aucun problème. Si la rentrée pouvait être décalée, ça arangerais tout le monde ! J'en suis sûre ! é.è

Pour le groupe, je confirme une nouvelle fois, ce sera bien Hylien !
Après tout, c'est ce que Link est ! :3 Et puis, je le joue adulte aussi.